Réflexion autour des réseaux sociaux

• Quel est mon rapport aux réseaux sociaux ?

• Quelle utilisation j’en fais ?

• Comment affectent-ils ma santé mentale ? Mon temps ? Ma motivation ? Ma créativité ? Mon entourage ?

C’est drôle comme les réseaux sociaux nous donnent l’illusion de nous connecter aux autres alors qu’on se sent souvent seul·e et prisonnièr·e d’une toile invisible (surtout quand ils sont utilisé dans un but pro).

Peu importe le contenu fourni, le résultat n’est jamais à la hauteur de nos attentes. Une majorités des « followers » ne le voit pas et pour le reste, une bonne partie n’y réagit même pas. Notre contenu se retrouve ainsi noyé sous les vagues de Meta. S’ensuit une spirale un peu dégueu de déception et de frustration.

Le conseil des cartes : – Débrancher -. On s’amenuise à se comparer aux autres. On nous encourage à nous imprégner de la joie, de la chaleur et de la force vivifiante du Soleil. De nous inspirer du printemps pour réveiller ce qui sommeille en nous. Mais aussi et surtout, de nous pardonner de ne pas être parfait·e (spoiler alert : on le sera jamais !). On parle souvent de « l’enfant intérieur », ici c’est plutôt à « l’ado »* qu’on doit faire appel. L’impertinent·e ! Cellui qui se moque des frontières qu’on a érigées en grandissant. Qui se rebelle contre l’ordre établi. Qui nous dit « arrête de résister au changement et passe du temps avec tes proches » ! Parce qu’on y gagnera plus et qu’à la fin ce ne sont pas les stats qu’on retiendra, mais bien le temps qu’on aura consacré à nous-même et à celleux qu’on aime. So, call your loved ones ! 

* D’une génération qui n’a pas été matrixée par les RS.