Quick reminder :
Les étapes du voyage ne sont pas homogènes.
Certains jours ça ira, d’autre on saura d’avance que ce sera la merde. Parfois on recouvrira notre corps de bandages pour survivre et se protéger, pour se donner l’impression de maitriser les règles qui nous rassurent. Parfois ils nous paralyseront juste, nous empêchant de saisir des opportunités et de se connecter au monde qui nous entoure.
Sortir de l’isolement, se balader, regarder les étoiles, sentir le vent caresser notre peau, la lourdeur annonçant l’averse.
Une présence peut nous aider à observer et comprendre l’orage.
[Déposer nos angoisses.
Nos hontes et nos culpabilités.
Nos déceptions et nos tristesses.
« On n’a pas forcément besoin d’avoir un but dans la vie. On n’a pas besoin de raison pour être fatigué·e. Le repos, le confort, on n’a pas besoin de les avoir mérités. »*
Laisser la pluie nettoyer et régénérer notre écosystème.
Respirer.
« On a le droit d’être, point final. »*]
Parfois on a juste besoin de cette piqûre de rappel.
On est plus fort·e qu’on ne le pense.
On n’est pas seul·e.
*Une prière pour les cimes timides – Becky Chambers